mercredi 3 septembre 2014

Les sept d’Alençon.



Un document d’Alain de Bornay.


Avant Propos

Un appel à témoins  était le 29 juin 2014, lancé sur Internet par le CTECNA (Collectif Tous Ensemble Contre le Nouvel Antisémitisme) au sujet d’une très grave affaire d’antisémitisme concernant un gang de sept malfaiteurs marxistes culturels Ici dit les 7 d’Alençon.

Les 7 marxculs dont deux militants du MRAP (Mouvement pour le Remplacement Accéléré du Peuple, dit aussi Mouvement Raciste Antisémite et Populaire ou comme du temps de Mouloud Aounit le Mouvement pour le Respect et l’Allégeance au Prophète) accusés de provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de son origine ou de son appartenance ou non appartenance à une ethnie, nation, race ou religion d'Alençon doivent être rejugés en appel le 22 Septembre 2014.

Le présent « document » exclusif mis en ligne sur Internet est le résultat de l’enquête du CTECNA.
Le procès en Appel des 7 staliniens marxistes culturels (Dont deux militants du MRAP) du Collectif inculpés pour incitation à la haine raciale antisémite aura lieu le lundi 22 septembre 2014 à 14 heures à la Cour d’Appel de Caen.
Diffusez ce document sur internet de façon a ce que ces porteurs de haine suivant en cela madame Martine Aubry  alors première secrétaire du Parti Socialiste qui avait réaffirmé le 8 novembre 2010  au sujet de l’antisémite campagne BDS, lors d'un repas organisé par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), en indiquant notamment : « J'ai toujours combattu avec la plus grande détermination les tentatives faites par certains de vouloir importer le conflit du Proche-Orient dans notre ville.(…) Je pense que ceux qui prônent le boycott se trompent de combat : au lieu de porter la paix, ils portent l'intolérance, ils portent la haine. Et quand on veut un chemin de paix, on ne commence pas par porter cela. »

Le document : « Les sept d’Alençon » doit être diffusé un maximum sur la toile de façon a arrêter les campagnes de haine antisémites qui défigure la France comme déjà en 2012 ICI et en Juillet 2014  ; campagnes de haine initialisées par les porteurs et boutes feu de la haine marxistes culturels comme les 7 d’Alençon les antisé…sionistes qui restent actifs et virulents et récidivent régulièrement dans leurs campagnes de haine antisémite. Voir ici.



Copyright 2014. Agence de Presse AIS (Trade Mark). Reproduction autorisée avec la mention suivante : © http://youplaboumlala.blogspot.fr/

7 commentaires:

  1. Communiqué d’Europalestine.
    http://www.europalestine.com/spip.php?article9918

    Procès BDS en appel à Caen : 1er recul
    Triste mine de la part des avocats des parties civiles : le juge a répété à plusieurs reprises hier à Caen, que l’appel au boycott des produits d’Israël faisait partie de la liberté d’expression !
    Nous n’étions donc là que pour savoir si un délit avait été commis du fait que les clients d’un magasin Carrefour d’Alençon, un beau matin de février 2010 auraient été « entravés », en raison de la présence de quelques produits illégaux et immoraux dans des caddies (et non dans leurs cageots), pendant 15 minutes.
    Assez cocace, quand on sait que ni le magasin Carrefour en question ni aucun de ses clients n’a porté plainte, et que le responsable du magasin qui a jugé bon de renvoyer ces produits en réserve après avoir discuté avec les militants d’Alençon, n’a pas été poursuivi en justice pour avoir privé les clients de ces produits exportés par Israël.
    Les juges se sont donc donné beaucoup de mal pour essayer d’établir cette fameuse « entrave à une activité économique normale », après que les avocats de la défense, Me Antoine Comte et Me Dominique Cochain eurent souligné, qui plus est, le défaut de constitutionnalité de cet article de loi (225-2) étant donné son manque de clarté. Démontrant que ni le terme « entrave », ni celui de « normale » n’étaient définis, ils ont soulevé une Question Prioritaire de Constitutionnalité (QPC), que le tribunal a rejetée , demandant à entendre auparavant les arguments sur le fonds.
    Les tentatives du président du tribunal, de tordre le cou à la réalité des faits, n’ont pas réussi à déstabiliser les 7 inculpés, au contraire. Prétendre comme l’ont fait les juges que le responsable du magasin avait été intimidé, menacé, alors que ce dernier avait lui-même décrit à la police le dialogue et l’action comme étant « bon enfant », était dérisoire.
    Francis Wurtz, eurodéputé pendant 30 ans, est venu témoigner à la barre (avant Michèle Sibony et Omar Slaouti) du caractère totalement illégal de la présence, dans les rayons des magasins, de ces produits, susceptibles de provenir des colonies, des constantes et vastes tromperies sur la marchandise, du refus d’Israël d’obtempérer aux demandes de l’Union européenne concernant leur étiquetage, et de la regrettable absence de sanctions de la part de l’Etat français qui les laisse pénétrer sur le territoire français en toute illégalité.
    Après avoir rappelé ce qu’Israël fait subir au peuple palestinien, les inculpés ont souligné avoir effectué non pas une mais 15 actions BDS dans leur ville d’Alençon, avoir été 20 et non 7 militants le 13 février 2010, et à être depuis lors de plus en plus nombreux dans toute la région à mener des actions de boycott d’Israël, afin d’alerter, de manière constamment non violente, la population.
    Le jugement sera rendu le 24 novembre prochain à 14 H.

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  2. Le BNVCA présent le 22/9/14 au procès en appel devant la Cour d'Appel de Caen, contre 7 prévenus d'appel illégal et discriminatoire au Boycott d'israel Le BNVCA demande au préfet d'interdire et réprimer tout rassemblent illégal de soutien aux prévenu
    BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L' ANTISEMITISME 8 Boulevard Saint Simon 93700 Drancy Le Président Sammy Ghozlan 0609677005 Drancy le 21/9/14 Suite à une procédure engagée par le BNVCA depuis février 2010 contre les activistes qui ont appelé illégalement au boycott de produits en provenance d'israel,dans une grande surface d'Alençon, le procès en appel se déroulera Lundi 22 septembre 14 H, devant la Cour d’Appel de Caen, Les 7 prévenus,de ce commando BDS avaient été condamnés après 3 ans de procédure par le TGI D'Alençon..Le 19 septembre ils se sont vus condamnés, individuellement, à 500 € d’amende assortis du sursis et à verser, solidairement, 500 € à chacune des parties civiles.Ils ont fait appel de cette décision totalement justifiée et seront jugés pour les mêmes motifs à savoir : « provocation, incitation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou groupe de personnes, à raison de son appartenance à une ethnie, à une race, à une religion ou à une nation » et de : « entrave à l’exercice normal d’un magasin » Le BNVCA rappelle que l'appel à boycott est un délit prévu et réprimé par nos lois.Le défenseur des droits a reconnu la légitimité du BNVCA a poursuivre ces infractions. Dans sa sagesse, le Conseil Constitutionnel, dans son arrêt 12/4/13.a déclaré conforme à la constitution l'art 65-3 de la loi du 29/7/1881 sur la presse, interdisant désormais aux boycotteurs illégaux, de tenter de faire retarder les procès . que le BNVCA leur a intentés devant les tribunaux de tout l'hexagone Le BNVCA dénonce les tentatives d'intimidations exercées par certaines organisations partisanes, sur les décisions des magistrats, en appelant à des rassemblements de soutiens aux prévenus, et faisant la promotion illégale du boycott sur le parvis des tribunaux. Le BNVCA demande au Préfet de Caen d'interdire tout rassemblement de ce type et le réprimer si les manifestants commettent sur place, le délit flagrant à l'article 225 du Code Pénal. Le BNVCA sera représenté à cette audience. par Maitre Julien Bensimhon.

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  3. Procès en appel des 7 « militants » marxistes culturels « BDS » d’Alençon. Communiqué des communistes de l’AFPS.
    Collectif Palestine Orne, mercredi 24 septembre 2014
    Les 7 militants du Collectif Palestine Orne ont été auditionnés ce lundi 22 septembre 2014 par la Cour d’Appel de Caen.
    En tout premier lieu, le Président du Tribunal annonce que le Parquet abandonne son appel pour la 1ère citation, celle basée sur la loi de 1881 (provocation, incitation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne.…)
    Ce qui veut dire que tout le reste de l’audience ne concernera que la 2ème citation, sur l’entrave à l’exercice normal de l’activité économique d’un magasin
    C’est une excellente nouvelle, car cela veut dire que, le Gouvernement, le Parquet, renonce, à nous affronter sur le terrain du boycott sachant la partie perdue d’avance. Au grand dam des deux avocats des parties civiles qui avaient axé toute leur défense sur le boycott et sur l’ostracisme dont serait, selon eux, victime l’État d’Israël.
    Me Antoine COMTE commence par poser une Question Prioritaire de Constitutionnalité (QPC), sur le fait que ce qui est reproché aux prévenus « entrave… » (article 225-2) n’est pas assez précis, que cela manque de clarté et que les juridictions sont amenées à interpréter de manière différentes.
    Procès en appel des 7 « militants » marxistes culturels « BDS » d’Alençon. Communiqué des communistes de l’AFPS. A suivre …

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    1. Suite du procès en appel des 7 « militants » marxistes culturels « BDS » d’Alençon. Communiqué des communistes de l’AFPS.
      Après en avoir délibéré, la Cour ne donne pas suite à cette demande de QPC qui est classée et sera jugée sur le fonds.
      Me Dominique COCHAIN intervient pour plaider sur la prescription de l’action publique qui, selon nous est acquise et sur l’irrecevabilité de l’association Chambre de Commerce France Israël et l’association Avocats Sans Frontière. Intervention solide et très argumentée.
      Puis, après avoir visionné une nouvelle fois la bande vidéo de l’action du 13 février 2010, le juge rappelle les faits qui se sont déroulés dans le magasin concerné et invite les prévenus à témoigner à la barre.
      Tous ont reconnus les faits en question et ont, en particulier, souligné qu’ils appelaient à boycotter les produits israéliens dans leur ensemble pour au moins deux raisons essentielles ;
      D’une part, il est impossible d’avoir une traçabilité des produits qui soit fiable (comme l’a confirmé à plusieurs reprises l’EU) et d’autre part, ils ont redit une nouvelle fois que l’objectif de la campagne BDS est bien un moyen, et non une fin en soi, pour dénoncer la politique colonialiste du gouvernement israélien menée depuis des décennies.
      Tous ont souligné, et cela à plusieurs reprises, l’aspect non-violent et pacifique de leur action et de leur engagement. Et comme l’a démontré, si besoin était la projection de la vidéo.
      Ensuite, le Président de la Cour a invité les trois témoinss Francis Wurtz, Michèle Sibony et Omar Slaouti à venir à la barre pour expliquer leur soutien aux 7 prévenus
      Leurs interventions ont été diversifiées et d’une très haute tenue et ont aussi été un véritable réquisitoire contre la politique israélienne. Chacun dans son domaine, et selon ses engagements, a dénoncé de manière magistrale cette politique du fait accompli qui bafoue sans vergogne, et cela depuis des décennies le droit international.
      F. Wurtz à mis en évidence l’illégalité de tous les produits venant des Colonies israéliennes et a insisté sur le fait que, enfin, l’UE prenait des mesures appropriées( interdiction d’importation, étiquetage des produits incriminés…). Et que si il n’y avait pas eu l’action des militants aujourd’hui inculpés et de tous les autres, il n’y aurait pas eu ces avancées significatives.
      M. Sibony à évoqué ses origines juives pour clamer haut et fort son opposition à la politique des gouvernements israélien et son adhésion totale à la campagne BDS ; ainsi que son soutien aux israéliens qui, eux aussi, boycottent les produits des colonies (avec l’association Who Profits notamment). Elle a aussi stigmatisé la manipulation des officines pro-israéliennes qui visent à faire taire toute critique à l’égard d’Israël.
      Procès en appel des 7 « militants » marxistes culturels « BDS » d’Alençon. Communiqué des communistes de l’AFPS. A suivre …

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    2. Suite du procès en appel des 7 « militants » marxistes culturels « BDS » d’Alençon. Communiqué des communistes de l’AFPS.

      O. Slaouti a souligné le caractère éminemment politique de ce procès ; avec la mise en cause de circulaire Alliot-Marie / Mercier notamment. Il a récusé, sans coup férir, toutes les accusations d’antisémitisme dont voulaient l’accabler les parties civiles à bout d’argument. Et que ce conflit n’est ni religieux, ni racial mais bien politique ! Il a rappelé qu’à deux reprises, la Commission de Propagande, chargée de la conformité des des tracts et professions de foi des candidats aux élections européennes et législatives, a validé le tract du NPA, diffusé à des millions d’exemplaires et dont il était candidat, dans lequel était inscrit, noir sur blanc, l’appel au boycott d’Israël
      Le plaidoyer des parties civiles a été particulièrement laborieux, inconsistant ne sachant plus à quel saint se vouer ; et utilisant encore et toujours leurs arguments usés jusqu’à la corde : tous les prévenus et ceux qui les soutiennent sont antisémites. Cela va de soi !! Voire des, nous citons « des terroristes intellectuels irresponsables « !!!!
      L’Avocat général, représentant le Parquet, a dans un premier temps, admis que la cause défendue était « honorable, respectable ».
      Mais que cela n’autorisait pas les prévenus à faire n’importe quoi ; et que pour lui il n’y a aucun doute le délit d’entrave est bien établi.
      Il le condamne fermement ; et pour cela il demande une peine de 1 000 € d’amende (avec sursis ) pour chacun des 7 accusés.
      Le délibéré aura lieu le lundi 24 novembre 2014 à 14 heures à Caen

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  4. De l'association antisémite AFPS

    Le 24 novembre, la Cour d’appel de Caen a condamné les mili­tants d’Alençon pour­suivis pour avoir appelé au boycott citoyen contre un Etat qui viole de façon per­ma­nente et réitérée le droit inter­na­tional et humanitaire.

    Nos amis avaient été condamnés en pre­mière ins­tance, en sep­tembre 2013, pour « dis­cri­mi­nation à raison de l’origine, l’ethnie ou la natio­nalité - entrave à l’exercice d’une activité économique ».

    A l’origine des pour­suites, les scan­da­leuses cir­cu­laires Alliot-​​Marie et Mercier de février 2010 et mai 2012, à ce jour tou­jours pas abolies, et qui engagent donc désormais, de fait, la res­pon­sa­bilité de l’actuelle Garde des Sceaux.

    Nous sommes là devant une insup­por­table ins­tru­men­ta­li­sation de la loi pour empêcher la libre expression poli­tique des citoyens. Comme les amis condamnés par la Cour d’appel de Colmar en novembre 2013, nos cama­rades d’Alençon ont décidé de se pourvoir en cas­sation. Nous les sou­tenons plei­nement dans cette démarche : nous ne pouvons accepter une lecture biaisée de la loi au bénéfice d’un groupe de pression qui, comme les diri­geants israé­liens, se croit tout permis dans la surenchère.

    Les offi­cines ultra qui nous attaquent se trompent lour­dement si elles croient pouvoir ainsi nous réduire au silence. Tout indique au contraire que les actions BDS à travers le monde ne peuvent que se déve­lopper en réponse à la fuite en avant cri­mi­nelle des diri­geants israé­liens. La France est le seul pays de l’UE à cri­mi­na­liser des actions contre les vio­la­tions du droit inter­na­tional et des droits de l’homme, mais cela sera sans effet sur le déve­lop­pement de la mobi­li­sation citoyenne.

    Le Bureau national

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